L’expression fait référence à l'un des épisodes les plus dramatiques de la campagne militaire de Russie par Napoléon 1er. Nous sommes en novembre 1812, quand cernée par les Russes, l’armée de l'empereur est acculée à battre en retraite.
To bend over backwards
Faire des pieds et des mains
To put your shoulder to the wheel
Mettre la main à la pâte
To give it your all
Mettre les bouchées doubles
To call the shots
Faire la pluie et le beau temps
To have a lot on your plate
Avoir du pain sur la planche
To have bigger fish to fry
Avoir d’autres chats à fouetter
To be lazy
Avoir un poil dans la main
To be an uphill battle
C’est la croix et la bannière !
It's a disaster
C'est la Bérézina !
To bend over backwards
Se mettre en quatre
To kill two birds with one stone
Faire d’une pierre deux coups
To grab the bull by the horns
Prendre le taureau par les cornes
To back out
Faire machine arrière
To burn the candle at both ends
Brûler la chandelle par les deux bouts
To go down as a red-letter day
Marquer d’une pierre blanche
To lend a helping hand
Prêter main-forte
To work flat out/to the max
Travailler d’arrache pied
To give someone carte blanche
Donner/laisser carte blanche
To help move things along
Faire avancer le schmilblick
To get back to business
Revenons à nos moutons
To be influential/well-connected
Avoir le bras long
To be a common occurence/practice
Être monnaie courante
To be big-hearted/very generous
Avoir le cœur sur la main
To give your two cents
Mettre son grain de sel
C'est la Bérézina !
L’expression française « c'est la Bérézina » est une exclamation utilisée pour décrire un échec total, une catastrophe ou encore une situation extrêmement difficile ou désagréable. Cette même expression est aussi quelquefois utilisée sur un ton sarcastique pour décrire des obstacles plus mineurs.
L’expression fait référence à l'un des épisodes les plus dramatiques de la campagne militaire de Russie par Napoléon 1er. Nous sommes en novembre 1812, quand cernée par les Russes, l’armée de l'empereur est acculée à battre en retraite.
L’expression fait référence à l'un des épisodes les plus dramatiques de la campagne militaire de Russie par Napoléon 1er. Nous sommes en novembre 1812, quand cernée par les Russes, l’armée de l'empereur est acculée à battre en retraite.